Le procès du meurtre de Jack Koker, originaire de Maastricht, a été complètement bouleversé.
Le premier suspect a été relâché, l'autre suspect toujours en détention garde le silence, mais selon l'accusation, ce n'est pas lui mais sa petite amie qui a poignardé mortellement Koker.
ANBW plat
À la fin de l'année dernière, le tribunal a reconstitué dans la résidence de Koker, dans l'appartement de l'ANWB sur la Koningsplein, ce qui se serait passé le 27 mai de l'année dernière. Sur la base du rôle et des explications de D.H., résident de Maastricht, dans cette affaire, le tribunal a conclu qu'il n'était pas l'auteur des faits.
Coca-Cola
Ce soir-là, H. se trouvait avec Moussa O. et sa petite amie A. de La Haye dans la maison de Koker pour acheter de la cocaïne. Lorsque O. et A. ont consommé de la cocaïne, il a fallu payer. H. est d'abord parti avec la carte de débit de O. Lorsqu'il s'est avéré qu'il n'y avait pas assez d'argent sur la carte, il a réessayé avec la carte de A.
Ami
Selon le procureur David van Kuppeveld, tous deux savaient qu'il n'y avait pas assez d'argent sur le compte. Dans leur tentative de s'éloigner de Koker, une bagarre a éclaté et O. aurait frappé l'occupant à la tête. Mardi, le ministère de la justice a ajouté une nouvelle information : la petite amie d'O. aurait poignardé Koker dans le dos au cours de la bagarre. Lors d'appels téléphoniques entendus depuis la prison, O. a dit à sa petite amie : "Je suis là pour toi".
Le sang et le verre
L'avocate d'O., Sjanneke de Crom, fait valoir que ce scénario ne correspond pas à la lecture antérieure de la police et qu'il est également incompatible avec les éléments de l'enquête tels que les traces de sang et les éclats de verre trouvés sur la porte d'entrée fracassée. Sa demande de remise en liberté d'O. pour le moment a donc été rejetée. O. a indiqué hier qu'il souhaitait rompre son silence prolongé, mais il a reporté son geste à plus tard. L'ami d'O., A., réside en Grèce, où O. est né.