MAASTRICHT L'habitant de Maastricht, âgé de 42 ans, qui a été enlevé le 1er juin par une équipe d'interpellation dans une maison de la Dr Schaepmanstraat pour avoir mis fin à ses jours, est soupçonné d'être en possession d'armes à feu prohibées. Un porte-parole du département de la justice du Limbourg a confirmé cette information à Crimewatcher.
"Ce suspect a été présenté au juge d'instruction. Sa détention provisoire a été suspendue", a déclaré Harry Willems, du ministère public. "Cela signifie qu'il a été remis en liberté. S'il ne respecte pas certaines conditions, il sera toujours arrêté".
La police avait été alertée de la situation le jeudi 1er juin, après quoi la zone a été immédiatement bouclée. De nombreux agents ont été appelés pour sécuriser la zone. Le Limbourgeois de 42 ans voulait mettre fin à ses jours à l'aide d'une arme à feu. Un soi-disant négociateur a été utilisé pour faire changer d'avis l'homme, après quoi l'équipe d'interpellation convoquée a pu le maîtriser.
Sjanneke de Crom, avocate de l'homme de Maastricht, a qualifié de "correcte" la décision du juge d'instruction dans cette affaire. "Cet homme va recevoir de l'aide. Il ne voulait faire de mal à personne d'autre qu'à lui-même".