Affaire pénale en cours

Des Syriens condamnés à cinq et six ans de prison pour un attentat à Geleen (1limburg.nl)

Les deux Syriens qui ont commis trois vols à Geleen en décembre devraient être condamnés à cinq et six ans de prison par un juge.

En l'espace de 47 heures, le duo a attaqué une épicerie, un snack-bar et un supermarché.

Visite des toits

Le saccage a commencé le vendredi 6 décembre, lorsque le magasin d'alcool Gall & Gall sur Rijksweg Zuid a été perquisitionné. Un jour plus tard, c'était au tour du Snackpoint, dans la Rembrandtlaan, et un autre jour, à l'Aldi, dans la Jos Klijnenlaan. Dans la pharmacie et le supermarché, les voleurs ont réussi à obtenir de l'argent, tandis que dans le snack-bar, ils sont repartis sans butin.

Le braquage de l'Aldi le 8 décembre a été le dernier travail du duo ; le lundi suivant, Saleh A. (22 ans) et son associé Ayas I. (20 ans) ont été appréhendés.

Boire avec courage

Saleh a avoué à la police son rôle dans les vols. Il a déclaré qu'il avait planifié les vols avec Ayas, qu'il avait même commencé par repérer la zone, qu'il s'était donné du courage et avait consommé des drogues, qu'il avait quitté son domicile avec des armes et qu'il avait joint l'acte à la parole.

Son associé a fermement démenti : "Peut-être a-t-il fait cela avec d'autres personnes, mais je n'étais pas là".

Sanctions sévères

Le tribunal a lourdement incriminé la manière dont ils ont commis les vols. Dans tous les cas, par exemple, ils ont fait preuve d'une grande violence et ont menacé les victimes avec des armes. Le fait que les deux hommes soient des réfugiés joue également un rôle important, selon le tribunal. "Aux Pays-Bas, les suspects se sont vus offrir un abri sûr et des frais de subsistance. Les suspects ont cherché un refuge sûr aux Pays-Bas, mais ils sont maintenant ici, rendant la vie d'autrui dangereuse et ne montrant aucun respect pour l'hospitalité qui leur a été offerte".

Sanctions

Le tribunal a ordonné à Saleh A. de purger une peine de cinq ans de prison, tandis que le juge a ordonné à son associé Ayas I. de purger une peine supplémentaire d'un an. Il est accusé de "ne pas avoir assumé la responsabilité de ses actes et de n'avoir manifesté aucun remords à l'égard des victimes".

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